vendredi 30 avril 2010

Débat à propos de la Taxe Locale sur la Publicité Extérieure sur VooTv

La Taxe Locale sur la Publicité Extérieure (TLPE) est une taxe créée pour lutter contre la pollution visuelle. Des enseignes immenses, parfois illégales, des panneaux publicitaires partout, à Dijon comme ailleurs, l'affichage publicitaire devient envahissant. Malgré l'enlaidissement incontestable (sans parler des nombreux effets pervers de la publicité), la CGPME et le MEDEF de Côte d'Or font pression pour réduire l'importance de cette taxe. D'où ce débat sur VooTv:



Les deux intervenants ne désirant pas la TLPE argumentent, en autre, qu'il doit y avoir une sorte d'auto-régulation à la place. La situation actuelle démontre bien que ça ne marche pas. Cette solution est d'ailleurs ridicule lorsque l'on lit le communiqué de presse de la fédération des entreprises du commerce et de la distribution pour leur engagement pour un commerce durable. Le point 6, "limiter les impacts visuels sur les paysages et les éco-systèmes" se trouve à la toute dernière page.













Puisque la responsabilité personnelle ne fonctionne pas, le levier "argent" fait maintenant peur.
Il faut savoir qu'en dessous de 7 m2 d'enseigne, il n'y a pas de taxe. Autre information, jusqu'à maintenant, les panneaux publicitaires présent sur des zones privées échappaient à toute taxe que pouvait percevoir la mairie, ce ne sera plus le cas.
Diminuer la taille des enseignes et réduire le nombre de panneaux publicitaires sous la contrainte de taxe ne devrait pas faire tant de bruit que ça puisqu'il y a plus efficace. En effet, la mairie possède le fameux RLP (Règlement Local de Publicité) qui fait office de loi (quand il est respecté...). La mairie pourrait à tout moment décider de le réviser (les dernières modifications datent des années 90) pour purement et simplement interdire les panneaux publicitaires dans la ville! Quant aux enseignes, la mairie pourrait les réglementer comme cela existe pour le centre ville.

Taxe ou réglementation, Dijon aura, espérons le, moins de pollution visuelle bientôt.

jeudi 29 avril 2010

Le "Captain Samouraï Flower" en concert à Dijon

"Pascal Obispo a pour habitude d'aller où l'on ne va pas. a une époque où le cynisme est érigé en valeur dominante, le chanteur se réinvente encore une fois avec "Captain Samouraï Flower". De fait, Pascal Obispo n'a jamais fait les choses à moitié. Se défiant des soupçons de naïveté au travers de ses engagements humanitaires aux côtés des Restos du Coeur et en faveur de la lutte contre le Sida, il propose dans ce nouvel album faisant suite au bien nommé "Les Fleurs du bien" une touche de couleur dans un univers formaté, du relief et du propos dans un monde trop souvent en noir et blanc. Avec quelques préoccupations majeures: l'avenir de la planète, l'héritage laissé aux enfants, faire prendre conscience aux aînés de l'urgence d'agir. Le tout en musique (...)". (source: site officiel du chanteur)


Pascal Obispo sera demain soir en concert au Zénith de Dijon.

mardi 27 avril 2010

"Affichage publicitaire, l'envahissement..."

Le Journal du Palais n°4181 du 19 au 25 avril 2010 montre en première page un article intitulé "Affichage publicitaire, l'envahissement...", et commence par "les panneaux se multiplient à l'entrée des agglomérations comme à Dijon. Cette forme de publicité rapporte néanmoins plusieurs millions d'euros aux communes".
L'article ne fourni aucune donnée sur ce que rapporte la publicité au communes. Mais on peut lire "la publicité est bien là, enseignes, panneaux, pré-enseignes, sur les bus, le mobilier urbain et les vitrines. Dijon, comme n'importe quelle autre grande ville, est envahie par la publicité dont la plus forte concentration a été observée dans les entrées et sorties d'agglomération. la plus part des dijonnais interrogés trouvent ces affichages extrêmement laids, gênants et les qualifient de véritable pollution visuelle".
La publicité en ville est régie par le règlement local de publicité (RLP). Celui de Dijon est très laxiste, il date des années 1990. La ville de Saint-Apollinaire en possède un (annexe) depuis quelques semaines.
De grandes zones où la publicité est interdite, mais de nombreuses Zones à Publicités Restreintes (ZPR).

Plus le nombre qui suit les lettres ZPR augmente, plus la tolérance aux systèmes publicitaires est importante. Par exemple, la publicité lumineuse est interdite en ZPR 1 et 2, mais autorisée pour les autres.

La ville de Saint Apollinaire a perdu son "esprit village" par ce RLP, et va devenir une ville comme les autres avec de la pollution visuelle abondante légalisée, une ville moche.

lundi 26 avril 2010

La SEMAAD primée au niveau européen pour son engagement social et environnemental

"La Société d’Economie Mixte d’Aménagement de l’Agglomération Dijonnaise (SEMAAD) s’est vue décerner le 26 avril 2010 à Bruxelles la plus haute distinction européenne en matière de responsabilité sociale et environnementale d’une entreprise publique : le label Discerno."













"Discerno est un projet européen initié par le Centre Européen des Entreprises à Participation publique et des entreprises de services d’intérêt général (CEEP) avec le soutien de la Commission européenne. Ce projet européen entend ainsi encourager les entreprises publiques à appliquer les principes de la Responsabilité Sociale et Environnementale (RSE ou Corporate Social Responsability) et à en communiquer les résultats. "

dimanche 25 avril 2010

Chernobyl day 2010 à Dijon

Hier, place de la libération, avait lieu un rassemblement pour la journée internationale de mobilisation contre le nucléaire. "Le réacteur de la centrale de Tchernobyl a explosé le 26 avril 1986. Chaque année, le Chernobyl Day met en lumière la catastrophe sanitaire toujours actuelle en Biélorussie, et soutient les milliers de victimes du plus grave accident industriel de l’Histoire. (...) Autour de Tchernobyl, depuis 24 ans, des millions de personnes vivent dans les zones les plus touchées, et consomment des produits agricoles contaminés, en particulier par le césium-137. Cancers, malformations génétiques... les conséquences sanitaires de la catastrophe s’aggravent d’année en année, chez les adultes et les enfants. En Biélorussie, environ 4 enfants sur 5 sont contaminés. La radioactivité est invisible, mais reste mortelle pendant des millénaires. Depuis 24 ans, les autorités internationales, et en particulier l’OMS, n’apportent aucune véritable réponse aux populations touchées. La catastrophe continue."
Hier, suite à l'appel du réseau sortir du nucléaire, étaient présent des citoyens sensibles à cette problématique, mais aussi Greenpeace Dijon, ainsi que les partis politiques: CAP21 Bourgogne, Les Verts 21, Europe Ecologie Bourgogne et Alliance Ecologique Indépendante.

vendredi 23 avril 2010

C'est parti pour l'exposition "Tout garder? Tout jeter? Et réinventer?"

Ce soir avait lieu le lancement de la première édition de la biennale multi-site autour de la thématique des "Utopies et innovations".
Dijon, faisant partie du réseau métropolitain Rhin-Rhône, a pour sa part choisi le thème "Tout garder? Tout jeter? Et réinventer?", basé sur l'objet.


Une succession d'expositions et de rendez-vous du 23 avril au 20 septembre 2010, principalement au musée de la vie bourguignonne, un programme extrêmement dense.

Et pour terminer cette première soirée, un spectacle sonore d'une très grande originalité où les objets les plus loufoques comme les plus anodins se succèdent à un rythme effréné pour donner des mélodies parfaitement orchestrées. Un spectacle fantastique de "La brocante sonore".

Une suite d'événements à ne pas rater pour ne plus jeter à la poubelle nos objets sur un coup de tête. Gardons les pour les utiliser le plus longtemps possible, ou réinventons leur une utilité.

mardi 20 avril 2010

La CCI aurait-elle anticipée la fin du pétrole?

Qui n'a pas entendu parler des effets du volcan islandais sur le trafic aérien? Pas moyen d'aller à l'autre bout de la planète immédiatement. Pas d'avion et la terre s'arrête de tourner? C'est presque le cas d'après le blog du président de la CCI (Chambre de Commerce et d'Industrie) de Dijon: "(...) voici une nouvelle situation, parfois de crise, que nos entrepreneurs doivent affronter (quand ils ne sont pas « bloqués » à l’étranger !). Les enjeux sont souvent importants, il serait impensable de manquer des opportunités d’affaires pour cause de problèmes de transport à l’ère des nouveaux outils de communication ! "

Et c'est là que la CCI dévoile son plan "B": la visioconférence! Toute l'explication se trouve dans l'article "un volcan vous empêche de voler vers votre rendez-vous d'affaire? Votre CCI a une solution!". On apprend que les atouts de la visioconférence sont nombreux: "Les bénéfices directs sont multiples, comme l'économie du coût des déplacements et la rentabilité accrue de vos collaborateurs sur le temps gagné. Les effets indirects ne sont également pas à négliger : la sécurité des personnels est renforcée en limitant les déplacements, les rencontres peuvent être nombreuses et accroitre l'efficacité des équipes.
L'impact environnemental est une autre donnée importante. La suppression d'une partie des déplacements de vos collaborateurs est un pas direct vers la limitation de l'émission de CO2 de votre entreprise."

Et dire que la CCI est le premier défenseur du projet Renaissance! Finalement on se rend compte qu'elle a bien conscience de la fin très proche d'un pétrole pas cher et qu'elle a déjà anticipé l'arrêt des déplacements superflus de nos entrepreneurs...

lundi 19 avril 2010

Nouvelle saison pour les visites de BER

"Pour la sixième année consécutive, dans le cadre de la campagne “Faisons vite, ça chauffe !”, l’association Bourgogne Énergies Renouvelables met en place un programme de visites de sites « habitats économes en énergie et énergies renouvelables ». En partenariat avec l’ADEME et le Conseil régional de Bourgogne, ces visites sont conjointement animées par B.E.R. et le réseau des Espaces INFO."
"En 2009, 31 visites ont été organisées et ont permis à près de 500 personnes de découvrir in situ des installations
utilisant les énergies renouvelables. Cette année trente demi journées de visites sont organisées sur l’ensemble de la Bourgogne. L’ensemble du programme pour le 1er semestre est consultable sur notre site Internet".







Que l'on soit tout simplement curieux ou bien un expert dans un domaine du bâtiment, ces visites gratuites sont très enrichissantes. D'autant plus quand on sait "qu'un foyer consacre en moyenne 30% de son budget à ses dépenses d’énergie. Il est donc important d’opter pour une approche active et responsable de maîtrise de l’énergie."

mercredi 14 avril 2010

Pas de pesticides dans les espaces verts, seulement dans les rues

Vendredi dernier, le site internet d'actualité dijonscope.com mettait en ligne un article intitulé "Dijon: objectif "zéro pesticides"!" en mentionnant que les espaces verts seront bientôt 100% écolo. " "C'est le printemps, nous voilà à nouveau dans les parcs et jardins fleuris à profiter d'un peu de verdure. A cette occasion, dijOnscOpe a choisi de faire le point sur la politique des espaces verts de la ville en matière de pesticides. L'objectif de "Zéro pesticide" pour 2010 est-il réaliste ? ". Le reste de l'article ne porte que sur les jardins. Les dijonnais peuvent être soulagé, les enfants peuvent jouer pleinement dans les espaces verts sans risque de rencontrer du Round'up et autres désherbants.










Mais, il n'y a pas que dans ces jardins qu'il y a des plantes. Ce matin, des employés d'une société privée travaillaient à la demande de la mairie pour désherber les rues. Ils épandaient du glyphosate, la molécule active du fameux Round'up, démontrée comme étant très dangereuse. Et cela fait entre trois semaines et un mois qu'ils arpentent les rues dijonnaises ainsi (sauf le centre ville, voir vidéo) et encore pour les mois à venir, avec l'objectif de cesser vers 2012 ou 2013... Du poison dans les rues pour tuer quelques mousses, poison que l'on retrouvera peut être dans l'Ouche.













Et demain, peut être qu'il y aura un enfant pour cueillir ce pauvre pissenlit (plante comestible) quelques minutes après son arrosage mortel?
Des rues 100% écolo, c'est pour quand?

mardi 13 avril 2010

Des ateliers de travail pour le plan climat-énergie territorial

Le "Dijon mag", magazine de la ville de Dijon, en date d'avril 2010 indique que " Dijon, avec le Grand Dijon et Chenôve, se lance dans la réalisation de son plan climat-énergie territorial (PECT). Ensemble, les collectivités souhaitent associer tous les acteurs socioéconomiques (associations, groupements professionnels, bailleurs sociaux, entreprises, agriculteurs…) pour bâtir un plan d’action prioritaire en construisant des partenariats solides permettant la réduction des consommations d’énergie et des émissions de gaz à effet de serre sur le territoire. Ce processus constitue un pilier essentiel du PECT et orientera les choix et les décisions des politiques publiques futures. Divers ateliers de travail sont d’ores et déjà programmés, destinés aux personnes sensibles à ces enjeux ou désireuses de contribuer à faire de Dijon une référence écologique et à la rendre plus douce à vivre ."
Ce petit message qui pourrait passer inaperçu dans le journal de la ville est bien plus important qu'il n'y parait.
Au mois de septembre 2009, l'ADEME Bourgogne avait organisé une journée intitulée "Construire un plan climat à l'échelle de mon territoire", ouverte aux décideurs en tous genres (élus, chefs d'entreprises,...) pour présenter ce qu'est un tel plan et les intérêts.











"En tant qu'acteur de la politique locale, donneur d'ordre public et « chef d’orchestre » de la dynamique locale, les collectivités ont un rôle majeur à jouer dans la lutte contre le changement climatique.
Les Plans Climat Territoriaux constituent une des réponses aux préoccupations liées au changement climatique. Ils permettent ainsi aux collectivités de développer une stratégie de réduction des émissions de gaz à effet de serre et d'adaptation du territoire aux effets potentiels du changement climatique."
Cinq des présentations sont disponibles sur le site internet de l'ADEME.

Ces Plans Climat sont réalisables à l'échelle d'une ville comme d'une région et peuvent être à l'initiative des collectivités ou de groupements associatifs. D'ailleurs, celui qui fait référence dans le milieu est incontestablement "Energies d'avenir en Nord-Pas de Calais" qui a reçu de nombreux prix par la qualité du travail réalisé. Dans la même veine, il existe le "Scénario Energie-climat Pays de la Loire", mais toujours rien pour la Bourgogne (qui en possède un exemplaire depuis 2008) ni la Côte d'Or... On pourra remarquer que bon nombre de ces plans sont basés pour une bonne part sur le scénario négaWatt.

Toutes les personnes et associations sensibles à la défense de l'environnement se doivent donc de contacter le Grand-Dijon pour demander à y participer. C'est une porte ouverte très intéressante pour préparer Dijon, le Grand-Dijon et Chenôve à l'avenir.

lundi 12 avril 2010

La décroissance, un sujet en pleine croissance

Ce soir comme tous les lundi soir ou presque, l'association Les Colporteurs a diffusé un film-documentaire suivi d'un débat. Celui d'aujourd'hui était intitulé "Simplicité volontaire et décroissance"; un film de Jean-Claude Decourt.



Travailler moins, consommer moins et, à nous la vie !

20% de la population mondiale consomme 86% des ressources naturelles, dont la moitié a déjà disparu en un siècle (il faudra beaucoup moins de temps pour épuiser le reste).
Non content de piller le bien commun, notre modèle économique fondé sur le développement exponentiel, détruit inexorablement la nature, pervertit les relations humaines, compromet gravement l’avenir des générations futures.
Décroître économiquement et vivre plus simplement, ne signifie pas revenir à l’age de pierre. Il s’agit au contraire de croître en "humanité" de se réapproprier nos vies, notre temps, de compenser nos peurs et nos manques autrement que par la consommation, d’imaginer de nouvelles solidarités, de re-localiser industrie et agriculture, de se réapproprier la politique pour décider collectivement...
Avec les interventions, entre autres, de Suzanne Georges, Paul Ariès et Serge Latouche.

La projection du film a été suivi d'un débat très riche.

Ce mot "décroissance" qui effraie tant les dirigeants de la vieille école ne fait pas peur aux jeunes. Ainsi, l'année dernière mademoiselle Isabelle Carvalho, étudiante à l'Université de Bourgogne en a fait le thème de son mémoire d'étude intitulé: "La décroissance à l'échelle individuelle: la simplicité volontaire" (Annexe 1 et Annexe 2).

Un mémoire riche d'enseignements.

mardi 6 avril 2010

Le scénario négaWatt, indispensable à connaître

Lors de la semaine de l'environnement, monsieur Vincent Pierré, de l'association négaWatt est venu présenté les possibilités réelles d'économies d'énergies en France.



A travers cette démonstration, il est évident que la course à l'augmentation de production des énergies est une absurdité puisqu'il est tout à fait possible de faire une course à la sobriété, à l'efficacité énergétique et aux énergies renouvelables dont l'issue sera incommensurablement meilleure pour nous et l'environnement.

Parallèlement, pour mieux comprendre ce qu'est cette fameuse "énergie", la maison de l'environnement du Grand Dijon propose actuellement une exposition intitulée "Energie".

On y découvre de nombreuses données et les intérêts des différentes formes d'énergies.

Mais aussi sont exposés de façon fantaisiste des exemples de la folie humaine comme les centrales nucléaires sur bateaux (développées par la Russie) ou les centrales nucléaires domestiques (développées par les USA).

Plusieurs scénarii énergétiques existent pour l'avenir. Très rares sont ceux, comme le scénario négaWatt, à être lucides sur les véritables choix à faire.

samedi 3 avril 2010

"L'éco-PLU est il un vélo-PLU?"

Le 2 avril 2010, l'association EVAD a remis sa contribution au Président de le commission d’enquête publique portant sur le projet de Plan Local d’Urbanisme de Dijon. Naturellement, c’est la question du stationnement résidentiel des vélos qui a retenu toute leur attention.













Tout comme le collectif Urgence Bio 21, l'association EVAD a fait un travail de lecture du projet d'éco-PLU (Plan Local d'Urbanisme) de Dijon. Elle fait ainsi remarquer des avancées, mais aussi des lacunes, comme par exemple: "Lorsque le dossier évoque le stationnement des visiteurs, il ne s’agit que des visiteurs automobilistes ! Rien n’est dit sur les visiteurs à vélos!", ou encore "La norme fixant le nombre de places de stationnement vélo dans les écoles élémentaires figurant dans la partie réglementaire de ce projet de PLU est identique à celle figurant dans l'ancien PLU (1 place par classe). Elle est faible, notamment au regard des recommandations du CERTU (2 places ou 2 m2 par classe) et ne permet donc pas d'anticiper l'évolution de la demande."

Extrait de ce qui est indiqué dans le PLU pour la voiture:













Extrait de ce qui est indiqué dans le PLU pour le vélo:













Le vélo commence à s'installer naturellement dans la ville et de ce fait, ce PLU va dans le sens d'un PLU amélioré d'un point de vue écologique.

jeudi 1 avril 2010

Les remarques du collectif "Urgence Bio 21" sur l'ecoPLU de Dijon

Le Plan Local d'Urbanisme (PLU) de Dijon rentre dans son ultime phase de concertation puisque les dijonnais ont jusqu'au 2 avril pour laisser leurs remarques sur les cahiers prévus à cet effet en mairie.

Le collectif "Urgence Bio 21" a décortiqué les nombreux documents pour en extraire un certain nombre d'interrogations:

























Ce PLU qui se veut écologique doit manifestement être plus précis sur ses ambitions à propos des aspects "terres cultivables", et probablement un peu plus ambitieux dans ce domaine.